Discours de Donald Trump à l'ONU en 2025 : Climat, Palestine et Immigration au cœur des critiques
Le mardi 23 septembre 2025, Donald Trump a pris la parole à l'Assemblée générale des Nations Unies à New York, marquant son retour sur la scène internationale. Son discours, d'une durée de plus d'une heure, a été marqué par des critiques virulentes envers l'ONU, des prises de position controversées sur le changement climatique, la reconnaissance de la Palestine, et les politiques migratoires européennes.
Les critiques acerbes envers l'ONU
Donald Trump a vivement critiqué l'Organisation des Nations Unies, l'accusant de ne pas être à la hauteur de son potentiel et de ne pas avoir apporté de solutions aux conflits internationaux. Il a ironisé sur des problèmes techniques rencontrés lors de son intervention, tels qu'un escalier mécanique et un téléprompteur défaillants, soulignant, selon lui, l'inefficacité de l'organisation. Selon Trump, l'ONU "n'est pas à la hauteur des attentes" et crée de nouveaux problèmes au lieu d'en résoudre.
"Les deux choses que j’ai eues des Nations unies, c’est un escalier mécanique défaillant et un téléprompteur défaillant." - Donald Trump
Il a également reproché à l'ONU de favoriser l'immigration illégale, affirmant que l'organisation "finance une attaque contre les pays occidentaux et leurs frontières" en soutenant financièrement les migrants se rendant aux États-Unis. Trump a déclaré que l'ONU "est censée arrêter les invasions, pas les créer ni les financer".
Le changement climatique qualifié d'"arnaque"
L'ancien président américain a réitéré ses positions climatosceptiques, qualifiant le changement climatique de "la plus grande arnaque jamais menée contre le monde". Il a dénoncé le concept d'empreinte carbone comme "une supercherie inventée par des gens aux intentions malveillantes". Trump a argué que les prédictions alarmistes sur le réchauffement climatique ne se sont pas réalisées, et a critiqué les énergies vertes, notamment les éoliennes, qu'il juge "ruineuses".
La reconnaissance de la Palestine condamnée
Donald Trump a fermement condamné la reconnaissance de l'État de Palestine, la qualifiant de "récompense" pour les "atrocités horribles" commises par le Hamas, y compris celles du 7 octobre. Il a insisté sur le fait que le Hamas refuse de libérer les otages et d'accepter un cessez-le-feu. Trump a affirmé qu'il ne fallait pas céder aux exigences du Hamas.
Immigration et Europe : des critiques acerbes
Donald Trump a vivement critiqué les politiques migratoires européennes, affirmant que les pays européens "vont droit en enfer" s'ils ne contrôlent pas l'immigration. Il a accusé l'ONU d'encourager l'"invasion" de certains pays occidentaux par l'immigration illégale, et s'en est pris au maire de Londres, Sadiq Khan.
Les relations avec la Russie, la Chine et l'Inde
Trump a également pointé du doigt la Chine et l'Inde, les accusant d'être les "premiers soutiens financiers" de la guerre en Ukraine en continuant à acheter du pétrole russe. Il a appelé les pays européens à "arrêter immédiatement" d'acheter de l'énergie russe, soulignant que cela finance le conflit. Selon Trump, "même les pays de l'OTAN n'ont pas suffisamment réduit l'énergie russe."
| Thème | Déclaration marquante de Donald Trump |
|---|---|
| Changement Climatique | "La plus grande arnaque jamais menée contre le monde" |
| Reconnaissance de la Palestine | "Une récompense pour les atrocités du Hamas" |
| Immigration | "Vos pays vont droit en enfer si vous ne contrôlez pas l'immigration" |
| ONU | "L'ONU n'est pas à la hauteur des attentes" |
